Lorsque l’on choisit de construire un bâtiment, il est très important d’être informé sur la composition du sol et sur ses spécificités. En effet, il n’est pas rare que les constructions subissent des dommages liés à l’état du sol, c’est pourquoi il est très important de prendre en compte les résultats de l’étude du sol et de l’examen général du terrain afin d’éviter d’éventuels sinistres. Voici un rappel des principaux risques sur une construction liés au sol.
Selon la composition du sol et sa position géographique, le terrain sur lequel un bâtiment peut être construit peut subir certaines modifications. En effet, il n’est pas rare que les terrains s’affaissent ou se tasse au fil du temps. Ces mouvements de terrain sont dits «lent», mais il peut également y avoir des mouvements de terrains « rapides », souvent liés à une catastrophe naturelle comme les coulées de boue après une inondation ou les chutes de pierres liées à l’érosion d’une montagne.
Ces glissements de terrain peuvent se révéler catastrophiques pour la construction située sur le terrain. Il est donc très important de pouvoir s’en prémunir.
Dans différentes régions de France, les sinistres liés à l’effondrement de cavités souterraines sont fréquents et causes des dégâts irrémédiables sur les constructions. C’est par exemple le cas en Haute-Normandie, avec l’effondrement des marnières ou en Lorraine avec l’affaissement des galeries minières.
Lors de l’examen général du terrain, et selon l’histoire de la région, il faudra impérativement s’assurer qu’il ne se trouve pas dans une zone à risque en se renseignant par exemple sur l’état des risques naturels, miniers et technologiques (ERNMT) présent dans les dossiers de vente ou de location des logements situés dans le voisinage direct du terrain.
En France, le retrait et le gonflement des argiles provoquent assez fréquemment des sinistres importants sur les constructions. Ce phénomène lié à la présence d’argile dans le sol et aux infiltrations d’eau fonctionne de la façon suivante : lorsque de l’eau s’infiltre, l’argile gonfle, dilatant le terrain sur lequel se trouve la construction puis, lorsque l’argile sèche, il se rétracte et le sol avec lui. Cela a pour effet de faire apparaître des fissures assez importantes sur les constructions.
D’ailleurs, ce phénomène serait la deuxième cause d’indemnisation de sinistre en France, juste après les inondations.
Même s’ils sont peu fréquents et souvent de faible intensité, le territoire français n’est pas épargné par les séismes. En 2016, par exemple, le département de la Charente-Maritime a subi un tremblement de terre d’une magnitude de 5 sur l’échelle de Richter, sans engendrer de sinistres notables.
De plus, depuis la fin de l’année 2010, la France dispose d’un zonage sismique permettant de faire apparaître les différents niveaux de sismicité classé sur une échelle allant de 1 (risque très faible) à 5 (risque fort). Comme on pourrait s’y attendre, les zones les plus à risque sont situées autour des massifs montagneux que sont le Jura, les Alpes et les Pyrénées.
Les inondations sont la cause la plus fréquente de sinistre en France. Les dégâts liés à ce type de catastrophe se chiffrent en millions d’euros car les inondations dévastent routes, ponts, constructions habitées et zones commerciales sur leurs passages.
Lors de l’examen général du terrain, il est donc primordial de distinguer les cours d’eau qui risquent de sortir de leur lit ainsi que les zones sujettes aux remontées de nappe phréatique. En effet, si ce phénomène est plus rare, il peut également se révéler dévastateur pour la construction située sur le terrain.
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Lorsque l’on choisit de construire un bâtiment, il est très important d’être informé sur la composition du sol et sur ses spécificités. En effet, il n’est pas rare que les constructions subissent des dommages liés à l’état du sol, c’est pourquoi il est très important de prendre en compte les résultats de l’étude du sol et de l’examen général du terrain afin d’éviter d’éventuels sinistres. Voici un rappel des principaux risques sur une construction liés au sol.
Selon la composition du sol et sa position géographique, le terrain sur lequel un bâtiment peut être construit peut subir certaines modifications. En effet, il n’est pas rare que les terrains s’affaissent ou se tasse au fil du temps. Ces mouvements de terrain sont dits «lent», mais il peut également y avoir des mouvements de terrains « rapides », souvent liés à une catastrophe naturelle comme les coulées de boue après une inondation ou les chutes de pierres liées à l’érosion d’une montagne.
Ces glissements de terrain peuvent se révéler catastrophiques pour la construction située sur le terrain. Il est donc très important de pouvoir s’en prémunir.
Dans différentes régions de France, les sinistres liés à l’effondrement de cavités souterraines sont fréquents et causes des dégâts irrémédiables sur les constructions. C’est par exemple le cas en Haute-Normandie, avec l’effondrement des marnières ou en Lorraine avec l’affaissement des galeries minières.
Lors de l’examen général du terrain, et selon l’histoire de la région, il faudra impérativement s’assurer qu’il ne se trouve pas dans une zone à risque en se renseignant par exemple sur l’état des risques naturels, miniers et technologiques (ERNMT) présent dans les dossiers de vente ou de location des logements situés dans le voisinage direct du terrain.
En France, le retrait et le gonflement des argiles provoquent assez fréquemment des sinistres importants sur les constructions. Ce phénomène lié à la présence d’argile dans le sol et aux infiltrations d’eau fonctionne de la façon suivante : lorsque de l’eau s’infiltre, l’argile gonfle, dilatant le terrain sur lequel se trouve la construction puis, lorsque l’argile sèche, il se rétracte et le sol avec lui. Cela a pour effet de faire apparaître des fissures assez importantes sur les constructions.
D’ailleurs, ce phénomène serait la deuxième cause d’indemnisation de sinistre en France, juste après les inondations.
Même s’ils sont peu fréquents et souvent de faible intensité, le territoire français n’est pas épargné par les séismes. En 2016, par exemple, le département de la Charente-Maritime a subi un tremblement de terre d’une magnitude de 5 sur l’échelle de Richter, sans engendrer de sinistres notables.
De plus, depuis la fin de l’année 2010, la France dispose d’un zonage sismique permettant de faire apparaître les différents niveaux de sismicité classé sur une échelle allant de 1 (risque très faible) à 5 (risque fort). Comme on pourrait s’y attendre, les zones les plus à risque sont situées autour des massifs montagneux que sont le Jura, les Alpes et les Pyrénées.
Les inondations sont la cause la plus fréquente de sinistre en France. Les dégâts liés à ce type de catastrophe se chiffrent en millions d’euros car les inondations dévastent routes, ponts, constructions habitées et zones commerciales sur leurs passages.
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