Le photovoltaïque repose sur le principe selon lequel une production électrique est le résultat de la transformation de l’énergie solaire.
En France, ce marché a connu un réel essor avant de connaître un ralentissement autour des années 2010, cela s’explique notamment par une vive compétition au niveau mondial. Le parc français est estimé à près de 5 milliards d’Euro (350 000 installations) et 20 000 emplois dont 11 000 emplois directs. Cette “course” au photovoltaïque engendre donc son lot de désagrément : malgré le fait que l’énergie solaire soit l’énergie préférée des Français (37%), une personne sur deux est réticente à son installation, et trois idées ressortent de ces études :
Ces différents points reviennent de manière récurrente dans les échanges et autres études. On estime à plus de 100 millions d’Euros la charge sinistre annuelle pour les assureurs français, avec des sinistres généralement compris entre 6 000 et 10 000 d’euros. Nous allons donc décrypter ce “photovoltaïque Gate”.
Les sinistres sont la hantise des assurés mais aussi des compagnies, c’est généralement à partir de ce moment que les relations se détériorent. Les démarches sont chronophages, compliquées. De nombreuses incompréhensions apparaissent… Ce sont autant d’obstacles au bon déroulement des dossiers sinistres.
Dans le cas présent, nous observons une nouvelle impasse : le photovoltaïque est méconnu du grand public au point de vue assurantiel et technique. De plus, le processus assurantiel est extrêmement complexe. Comment expliquer ces difficultés alors que le marché de l’assurance est réputé pour son adaptabilité ?
Le marché du photovoltaïque est un marché de niche, et il n’est pas aisé de suivre puis de vérifier les installations, d’autant plus que bon nombre d’installateurs agréés font appel à des sous-traitants. C’est pourquoi chaque assureur est libre d’adapter sa propre politique de souscription, afin de compenser une forte sinistralité, et un coût du produit en baisse, les primes planchers ont quasiment doublé chez certains assureurs. En conclusion, les panneaux photovoltaïques s’appuient sur plusieurs garanties, autant durant l’installation que lors de la phase d’exploitation, à savoir la RC et l’assurance Habitation.
La sinistralité liée aux panneaux photovoltaïque est très complexe, en effet il faut différencier les installations en toiture et celles au sol car les risques ne sont pas les mêmes. Pour les cellules placées en toiture il existe plus de risques : en cas d’incendie, les pompiers peuvent être gênés dans leur intervention (accès, espace d’intervention… ). ils sont obligés de limiter l’arrosage afin d’éviter les électrocutions, ce qui laisse bien souvent d’énormes séquelles au bâtiment. Lors d’une tempête, d’une chute de grêle ou de vents violents, les cellules sont en première ligne et sont les premières à subir les aléas météorologiques.
Cependant, les installations se trouvant au sol ne sont pas non plus épargnées : inondation, sécheresse, choc, vandalisme, vol… etc. Même si les cas de vol ont diminué avec la baisse du prix des matériaux…. L’assurance au sol est donc en moyenne divisée par deux par rapport à celle en toiture.
Nous allons nous placer dans un premier temps dans le cas d’un incendie. Ce risque nécessite une importante maintenance bien qu’elle n’est pas obligatoire (seulement dans les grandes structures avec une toiture produisant entre 1000 et 3000 kiloWatt-crête ; les Établissements Recevant du Public et les Installations Classées Pour la Protection de l’Environnement) dans le cadre résidentiel. Inutile de préciser que bon nombre d’incidents peuvent être évités avec un entretien rigoureux. Cependant, la réalité est toute autre et les conséquences souvent terribles. Comme évoqué ci-dessus, les incendies ont souvent tendance à être totaux, ce qui implique de gros travaux de décontamination, démolition puis reconstruction / rénovation.
De nombreux cas d’infiltration ont été relevés. En effet le manque de formation et d’expérience de certaines entreprises (ou de leurs sous-traitants) cause de nombreux désagréments : des moisissures, des odeurs désagréables, la chute progressive des éléments immobiliers de votre habitation (placoplâtre, peinture, boiseries…). Ces infiltrations peuvent détériorer la santé de l’occupant par le biais de problèmes respiratoires, des allergies, des états de fatigue liés à l’humidité…
A l’heure actuelle, les nouvelles installations ont été soumises à de nouvelles normes, avec des audits plus poussés… de même pour les entreprises réalisant la pose. Ces derniers sont formés et reconnus pour leur bonne pratique. Cependant, les anciennes installations ne suivent pas ces normes, ce qui est bien évidemment fâcheux dans le cas d’un sinistre. En effet, la plupart des entreprises “qui ont privilégié la quantité à la qualité” ne sont bien souvent plus en activité…
Il est donc important de ne pas négliger la maintenance, et de la réaliser au moins une fois par an (nettoyage, vérification des supports, des câblages… etc). Des professionnels seront capables de vous aiguiller sur les potentielles pièces à changer ou bien si l’installation devient trop vétuste… A noter que de nouveaux moyens sont expérimentés comme la vérification par drône, ou les tableaux connectés.
Dans le cas d’un sinistre, il est conseillé de se rapprocher d’un Expert d’assuré, d’autant plus quand ce sujet est aussi technique. Le Cabinet LAMY Sinistre propose un accompagnement complet tout au long de votre dossier sinistre, en jouant le rôle d’interface entre les différentes parties prenantes. L’expert d’assuré a pour rôle de rétablir la balance qui “oppose” la compagnie d’assurance et l’expert qu’elle missionne face au sinistré.
L’expert d’assuré peut vous accompagner dès la survenue du sinistre, que ce soit pour le relogement, la décontamination de votre habitation, la négociation des postes à indemniser… L’objectif étant d’obtenir l’indemnisation la plus juste tout en vous dégageant du temps.
Partagez sur les réseaux :
Contactez nos experts d’assuré au 09.72.102.102 ou en remplissant le formulaire ci-dessous :
Le photovoltaïque repose sur le principe selon lequel une production électrique est le résultat de la transformation de l’énergie solaire.
En France, ce marché a connu un réel essor avant de connaître un ralentissement autour des années 2010, cela s’explique notamment par une vive compétition au niveau mondial. Le parc français est estimé à près de 5 milliards d’Euro (350 000 installations) et 20 000 emplois dont 11 000 emplois directs. Cette “course” au photovoltaïque engendre donc son lot de désagrément : malgré le fait que l’énergie solaire soit l’énergie préférée des Français (37%), une personne sur deux est réticente à son installation, et trois idées ressortent de ces études :
Ces différents points reviennent de manière récurrente dans les échanges et autres études. On estime à plus de 100 millions d’Euros la charge sinistre annuelle pour les assureurs français, avec des sinistres généralement compris entre 6 000 et 10 000 d’euros. Nous allons donc décrypter ce “photovoltaïque Gate”.
Les sinistres sont la hantise des assurés mais aussi des compagnies, c’est généralement à partir de ce moment que les relations se détériorent. Les démarches sont chronophages, compliquées. De nombreuses incompréhensions apparaissent… Ce sont autant d’obstacles au bon déroulement des dossiers sinistres.
Dans le cas présent, nous observons une nouvelle impasse : le photovoltaïque est méconnu du grand public au point de vue assurantiel et technique. De plus, le processus assurantiel est extrêmement complexe. Comment expliquer ces difficultés alors que le marché de l’assurance est réputé pour son adaptabilité ?
Le marché du photovoltaïque est un marché de niche, et il n’est pas aisé de suivre puis de vérifier les installations, d’autant plus que bon nombre d’installateurs agréés font appel à des sous-traitants. C’est pourquoi chaque assureur est libre d’adapter sa propre politique de souscription, afin de compenser une forte sinistralité, et un coût du produit en baisse, les primes planchers ont quasiment doublé chez certains assureurs. En conclusion, les panneaux photovoltaïques s’appuient sur plusieurs garanties, autant durant l’installation que lors de la phase d’exploitation, à savoir la RC et l’assurance Habitation.
La sinistralité liée aux panneaux photovoltaïque est très complexe, en effet il faut différencier les installations en toiture et celles au sol car les risques ne sont pas les mêmes. Pour les cellules placées en toiture il existe plus de risques : en cas d’incendie, les pompiers peuvent être gênés dans leur intervention (accès, espace d’intervention… ). ils sont obligés de limiter l’arrosage afin d’éviter les électrocutions, ce qui laisse bien souvent d’énormes séquelles au bâtiment. Lors d’une tempête, d’une chute de grêle ou de vents violents, les cellules sont en première ligne et sont les premières à subir les aléas météorologiques.
Cependant, les installations se trouvant au sol ne sont pas non plus épargnées : inondation, sécheresse, choc, vandalisme, vol… etc. Même si les cas de vol ont diminué avec la baisse du prix des matériaux…. L’assurance au sol est donc en moyenne divisée par deux par rapport à celle en toiture.
Nous allons nous placer dans un premier temps dans le cas d’un incendie. Ce risque nécessite une importante maintenance bien qu’elle n’est pas obligatoire (seulement dans les grandes structures avec une toiture produisant entre 1000 et 3000 kiloWatt-crête ; les Établissements Recevant du Public et les Installations Classées Pour la Protection de l’Environnement) dans le cadre résidentiel. Inutile de préciser que bon nombre d’incidents peuvent être évités avec un entretien rigoureux. Cependant, la réalité est toute autre et les conséquences souvent terribles. Comme évoqué ci-dessus, les incendies ont souvent tendance à être totaux, ce qui implique de gros travaux de décontamination, démolition puis reconstruction / rénovation.
De nombreux cas d’infiltration ont été relevés. En effet le manque de formation et d’expérience de certaines entreprises (ou de leurs sous-traitants) cause de nombreux désagréments : des moisissures, des odeurs désagréables, la chute progressive des éléments immobiliers de votre habitation (placoplâtre, peinture, boiseries…). Ces infiltrations peuvent détériorer la santé de l’occupant par le biais de problèmes respiratoires, des allergies, des états de fatigue liés à l’humidité…
A l’heure actuelle, les nouvelles installations ont été soumises à de nouvelles normes, avec des audits plus poussés… de même pour les entreprises réalisant la pose. Ces derniers sont formés et reconnus pour leur bonne pratique. Cependant, les anciennes installations ne suivent pas ces normes, ce qui est bien évidemment fâcheux dans le cas d’un sinistre. En effet, la plupart des entreprises “qui ont privilégié la quantité à la qualité” ne sont bien souvent plus en activité…
Il est donc important de ne pas négliger la maintenance, et de la réaliser au moins une fois par an (nettoyage, vérification des supports, des câblages… etc). Des professionnels seront capables de vous aiguiller sur les potentielles pièces à changer ou bien si l’installation devient trop vétuste… A noter que de nouveaux moyens sont expérimentés comme la vérification par drône, ou les tableaux connectés.
Dans le cas d’un sinistre, il est conseillé de se rapprocher d’un Expert d’assuré, d’autant plus quand ce sujet est aussi technique. Le Cabinet LAMY Sinistre propose un accompagnement complet tout au long de votre dossier sinistre, en jouant le rôle d’interface entre les différentes parties prenantes. L’expert d’assuré a pour rôle de rétablir la balance qui “oppose” la compagnie d’assurance et l’expert qu’elle missionne face au sinistré.
L’expert d’assuré peut vous accompagner dès la survenue du sinistre, que ce soit pour le relogement, la décontamination de votre habitation, la négociation des postes à indemniser… L’objectif étant d’obtenir l’indemnisation la plus juste tout en vous dégageant du temps.
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La garantie multirisque effondrement d’immeuble n’est pas obligatoire même s’il s’agit d’un risque important. Cependant, elle est conseillée.
Dans un premier temps, après avoir été victime d’un orage, vous devez rentrer en contact avec votre assureur afin d’effectuer une déclaration de sinistre.
En préambule, il est important de rappeler que certaines assurances sont obligatoires. Les assurances automobile et habitation en font partie.
C’est la plupart du temps sur les murs extérieurs d’une maison que les fissures apparaissent. Ce phénomène courant revêt un degré de gravité variable en fonction des contextes.
Une fissure inquiétante sur un mur de parpaing ? Un professionnel est plus à même de déterminer sa nature et son incidence sur les fondations. Il identifie la cause de ces fissures et apporte des solutions.
La présence d’une fissure sur les façades est un problème que l’on rencontre souvent quand on possède une habitation.
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69410 Champagne-au-Mont-d’Or
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